Fille ou garçon, devenir sapeur-pompier à 11 ans, c’est possible !

Toi, fille ou garçon, si tu rêves de vivre une expérience unique, d’être aux côtés des pompiers que tu trouves si héroïques, deviens jeune sapeur-pompier ! C’est possible à partir de 11 ans.

En intégrant une caserne, tu vas apprendre les gestes qui sauvent, tu t’initieras aux manoeuvres à effectuer en cas d’incendie et tu découvriras le travail en équipe.  Cette super formation, aussi citoyenne que solidaire, permet aux jeunes de 11 ans à 18 ans d’acquérir un vrai savoir-faire utile tout au long de sa vie. Renseigne-toi auprès de ton Union Départementale de sapeur-pompiers pour t’inscrire.

En Direct

Vanessa Musso, sapeur-pompière volontaire au centre de secours de Trets et au centre de traitement de l’alerte. 3ème médaille de France de l’ordre national du mérite et médaille de la sécurité intérieure.

Vanessa nous raconte son parcours en quelques mots.

« J’ai grandi dans une caserne, je suis fille de sapeur-pompier. Mais rien ne m’obligeait à le devenir ! J’ai toujours été très sportive et j’ai du caractère : c’est comme ça que j’ai réussi à faire mes preuves. Je suis rentrée chez les pompiers à 16 ans et à 18 ans, j’ai démarré sur les très gros feux comme celui de Marseille. Je suis pompier volontaire depuis 25 ans et aussi pompière professionnelle depuis 2004. Pendant 5 ans, après une spécialisation en cynotechnique, j’ai été maitre-chien sapeur-pompière sur la recherche des personnes égarées et sous décombres. Quand on est pompière, on est polyvalente, on doit savoir tout faire et savoir bien quoi faire sur ambulance aussi bien qu’en zone urbaine ou feux de forêts. Depuis 10 ans maintenant, je suis monitrice de secourisme. Je vais toujours sur le terrain mais plutôt côté gestion opérationnelle. Et aujourd’hui, je suis adjudante. Avec le temps, on a de plus en plus de responsabilités et surtout on gère la vie des autres. Leur vie est entre nos mains et même si on a plus de pression, on a aussi encore plus de plaisir lorsque l’on a réussi une opération. »

Alexandra, une autre sapeur-pompière,  nous raconte son combat contre les flammes durant l’été dernier. Retrouvez-la dans le numéro 2 de Tchika magazine.

Abonnez-vous sur www.tchika.fr

Article précédent
Eragon, le célèbre dragonnier est de retour !
Article suivant
Adrénaline, la nouvelle héroïne d’Astérix & Obélix

Articles liés

Aucun résultat.

Toi, fille ou garçon, si tu rêves de vivre une expérience unique, d’être aux côtés des pompiers que tu trouves si héroïques, deviens jeune sapeur-pompier ! C’est possible à partir de 11 ans.

En intégrant une caserne, tu vas apprendre les gestes qui sauvent, tu t’initieras aux manoeuvres à effectuer en cas d’incendie et tu découvriras le travail en équipe.  Cette super formation, aussi citoyenne que solidaire, permet aux jeunes de 11 ans à 18 ans d’acquérir un vrai savoir-faire utile tout au long de sa vie. Renseigne-toi auprès de ton Union Départementale de sapeur-pompiers pour t’inscrire.

En Direct

Vanessa Musso, sapeur-pompière volontaire au centre de secours de Trets et au centre de traitement de l’alerte. 3ème médaille de France de l’ordre national du mérite et médaille de la sécurité intérieure.

Vanessa nous raconte son parcours en quelques mots.

« J’ai grandi dans une caserne, je suis fille de sapeur-pompier. Mais rien ne m’obligeait à le devenir ! J’ai toujours été très sportive et j’ai du caractère : c’est comme ça que j’ai réussi à faire mes preuves. Je suis rentrée chez les pompiers à 16 ans et à 18 ans, j’ai démarré sur les très gros feux comme celui de Marseille. Je suis pompier volontaire depuis 25 ans et aussi pompière professionnelle depuis 2004. Pendant 5 ans, après une spécialisation en cynotechnique, j’ai été maitre-chien sapeur-pompière sur la recherche des personnes égarées et sous décombres. Quand on est pompière, on est polyvalente, on doit savoir tout faire et savoir bien quoi faire sur ambulance aussi bien qu’en zone urbaine ou feux de forêts. Depuis 10 ans maintenant, je suis monitrice de secourisme. Je vais toujours sur le terrain mais plutôt côté gestion opérationnelle. Et aujourd’hui, je suis adjudante. Avec le temps, on a de plus en plus de responsabilités et surtout on gère la vie des autres. Leur vie est entre nos mains et même si on a plus de pression, on a aussi encore plus de plaisir lorsque l’on a réussi une opération. »

Alexandra, une autre sapeur-pompière,  nous raconte son combat contre les flammes durant l’été dernier. Retrouvez-la dans le numéro 2 de Tchika magazine.

Abonnez-vous sur www.tchika.fr